Combien de fois me suis-je fait dire « Oui mais moi, j’aime pas ça vendre, Mylène. » Si vous avez peur de déranger ou d’achaler vos clients potentiels, vous allez crever de faim, et l’entrepreneuriat n’est peut-être pas pour vous. Si vous voulez développer une entreprise, vous devez être en mesure d’aller chercher des clients vous-même. C’est plate, mais c’est ça…

Il y a une différence en savoir se vendre et avoir une attitude de « vendeur de char usagé ».

Ici, je vous parle d’avoir un certain niveau d’éthique. Personne n’aime ressentir qu’il « vient de se faire closer ». On aime faire l’acquisition d’un bien ou d’un service. On aime se sentir important, pas ressentir qu’on vient de se faire avoir.

Il y a certaines stratégies que vous pouvez utiliser pour vous assurer que vous êtes la meilleure personne pour servir votre client, que votre produit est vraiment un bon achat pour lui.

Déterminer qui est votre client idéal de façon aussi précise que possible.

Plus votre client idéal sera simple et clair pour vous, plus vous offrirez votre produit ou service au client qui pourront en avoir besoin. Au contraire, si ce n’est pas clair pour vous, vous essaierez de vendre à tout le monde, n’importe comment. Et vous perdrez définitivement à ce jeu.

Qualifiez vos prospect de façon efficace.

Si vous essayez de vendre à une personne qui n’a pas les moyens de se payer vos services, vous faites erreur. Vous allez vous planter. Déterminez quelques questions qui vous permettront de déterminer si votre prospect est qualifié.

Si votre prospect ne se qualifie pas, ne le rejetez pas du revers de la main. Continuez d’entretenir la relation, inscrivez cette personne à votre infolettre. Vous ne savez jamais quand elle sera prête à faire son achat, surtout si la raison de non achat est monétaire.

Peu importe ce que vous pensez que vous devez faire pour y arriver, multipliez par 10.

TOUS les nouveaux entrepreneurs que j’ai croisés dans ma vie ont sous-estimé le niveau d’activités requis pour réussir. Vous allez vous faire dire « non » plus souvent que « oui », tenez-vous le pour dit. Si vous ne vous n’apprenez pas à gérer les rejets, vous n’y arriverez pas.

Cliquez ICI pour lire mon article sur « Les 7 raisons pourquoi j’aime me faire dire « NON » ».

Selon l’association de vente directe, seulement 6% des appels à froids résultent en une vente. À partir de cette statistique, vous pouvez déterminer combien d’appels seront nécessaires pour l’atteinte de vos objectifs.

Un dernier conseil…

Faites-en un jeu. Calculez vos chiffres et amusez-vous. Les ventes, c’est beaucoup une question de chiffres. Plus vous serez en action, plus vous vous améliorerez et plus vos statistiques s’amélioreront. Plus vous serez en action, plus la qualité de vos interventions s’améliorera!

Allez-y! Croyez en vous et foncez!

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